FAQ DriverCheck Inc.

Ce sont les questions les plus fréquemment posées que nous recevons de nos clients. Si vous ne voyez pas la réponse que vous cherchez, n'hésitez pas à entrer en contact.

Préparation de votre rendez-vous DriverCheck :

+ Pour toutes prestations/rendez-vous :

Assurez-vous toujours d’arriver à votre rendez-vous avec une pièce d’identité avec photo émise par le gouvernement.
Si vous ne vous présentez pas à votre rendez-vous prévu, cela entraînera des frais de non-présentation. Veuillez vous assurer de communiquer avec DriverCheck (si vous avez pris rendez-vous) ou avec votre employeur si vous n'êtes pas en mesure de prendre votre rendez-vous.
Veuillez arriver 5 à 10 minutes à l’avance à votre rendez-vous afin de remplir tous les documents requis.

+ Pièce d'identité avec photo émise par le gouvernement acceptable :

Une pièce d'identité valide avec photo émise par le gouvernement et acceptable comprend, sans toutefois s'y limiter, un permis de conduire, un permis d'armes à feu, une carte d'identité provinciale, un passeport et des cartes de statut.
Les permis de conduire expirés délivrés par le gouvernement ne sont pas acceptables, À MOINS que le participant ne possède un permis de conduire provisoire et qu’il ait conservé son précédent permis de conduire expiré, comme forme d’identité avec photo émise par le gouvernement.
DriverCheck n'est pas en mesure d'accepter les cartes Santé comme pièce d'identité avec photo, car les services en cours ne sont pas des services médicaux assurés par la province.

+ Préparations spécifiques aux tests :

Médicament urinaire :

Veuillez suivre ces étapes pour vous assurer que vous êtes en mesure de fournir un échantillon d'urine lors de votre rendez-vous :

Vessie vide 2 heures avant votre rendez-vous
Buvez ensuite 20 onces d'eau réparties dans les 2 heures précédant votre rendez-vous
N'allez pas aux toilettes avant d'y être invité par le collectionneur.

Liquide oral (salive) Médicament :

Veuillez ne rien avoir dans la bouche au moins 10 minutes avant votre rendez-vous.

Test de la fonction pulmonaire (PFT) :

Veuillez vous abstenir de manger et/ou de fumer 1 heure avant votre rendez-vous.

Test d’ajustement des protections auditives :

Vous devez apporter votre protection auditive avec vous à votre rendez-vous pour subir un test d'ajustement.
Dans la mesure du possible, la protection auditive doit être dans son emballage d'origine avec le nom de la protection auditive clairement visible pour le technicien chargé des tests d'ajustement.
Il vous sera demandé de retirer tous les bijoux, couvre-chef, vêtements pour le visage et lunettes qui pourraient interférer avec les tests d'ajustement.

Test d'ajustement du masque :

Test qualitatif d’ajustement du respirateur : assurez-vous d’arriver à votre rendez-vous rasé de près et de retirer tout maquillage épais. Veuillez éviter de manger, de mâcher du chewing-gum, de fumer, de vapoter ou de boire 15 minutes avant votre rendez-vous.
Test quantitatif d’ajustement du respirateur : Assurez-vous d’arriver à votre rendez-vous rasé de près et de retirer tout maquillage épais. Veuillez ne pas fumer 60 minutes avant votre rendez-vous.

Test d'aptitudes physiques (PAT) :

Boire beaucoup d'eau dans les 24 heures précédant votre rendez-vous
Portez des vêtements confortables (c'est-à-dire des pantalons de survêtement ou des shorts), des chaussettes et des chaussures appropriées. Les chaussures à bout ouvert ne sont pas acceptables et vous ne serez pas autorisé à tester.
Évitez de manger un repas copieux, de fumer ou de boire des boissons contenant de la caféine (y compris des boissons énergisantes) 3 heures avant votre rendez-vous. Une collation légère 1 à 2 heures avant votre rendez-vous est encouragée.
Veuillez ne vous livrer à aucune activité intense 24 heures avant votre rendez-vous
Veuillez dormir suffisamment la nuit précédant votre rendez-vous (de préférence 6 à 8 heures)

Examens médicaux provinciaux pour l'obtention du permis de conduire et évaluations préalables à l'embauche/évaluations périodiques de la santé au travail :

Une pièce d'identité valide délivrée par le gouvernement
Tout médicament(s) et posologie du(des) médicament(s)
Si vous portez des lunettes ou utilisez des appareils auditifs, veuillez les apporter avec vous

Drogue et alcool :

+ Pourquoi mon entreprise devrait-elle mettre en place un programme de dépistage des drogues et de l'alcool ?

Si vous êtes réglementé par le ministère américain des Transports, un programme de dépistage de drogues et d'alcool est obligatoire, et le non-respect de ces règles pourrait entraîner des amendes ou être empêché de voyager aux États-Unis. Pour les entreprises non réglementées, un programme de tests est fortement recommandé, car la consommation de drogues et d’alcool parmi les travailleurs occupant des postes sensibles pour la sécurité peut mettre en danger les employés, le public et l’environnement. En réduisant les blessures, les accidents et les maladies, vous favorisez non seulement la sécurité, mais vous réduisez potentiellement votre risque de responsabilité civile et vos primes d'assurance.

+ Ai-je besoin d’une politique relative à un programme de dépistage des drogues et de l’alcool ?

Oui. L'élaboration d'une politique de programme est nécessaire pour garantir que votre programme est défendable et répond à certaines exigences en matière de droits de l'homme. Nous vous aidons à élaborer et à mettre en œuvre une politique qui répond aux besoins de votre entreprise.

+ En tant qu'employeur, quels types de drogues dois-je tester ?

Nous effectuons un test de dépistage de drogues standard à 5 panels pour les employeurs réglementés aux États-Unis. Pour les lieux de travail qui ne sont pas réglementés, nous pouvons personnaliser les panels de dépistage de drogues sur demande. Il est important de noter que nous ne proposons pas une approche universelle : si vous n’en avez pas besoin, nous ne vous la vendrons pas.

+ Comment puis-je, en tant qu'employeur, déterminer quel type de test de dépistage de drogues utiliser (liquide oral, cheveux ou urine) et si je commande un test en laboratoire ou un test express ?

Pour les employés occupant des postes sensibles en matière de sécurité, les analyses de salive et d'urine en laboratoire sont les types d'échantillons les plus courants, chacun présentant des avantages et des inconvénients dans des situations spécifiques. Par exemple, les analyses de salive peuvent fournir des fenêtres de détection plus courtes (c'est-à-dire des heures et non des jours) pour certains médicaments, et selon les seuils, les résultats pourraient potentiellement indiquer une déficience à proximité du test. L'urine présente un historique d'utilisation plus long en mettant l'accent sur le risque plutôt que sur l'affaiblissement des facultés. Les tests express ou sur le lieu de soins utilisant la salive ne sont pas aussi fiables que les tests de salive en laboratoire, en particulier lorsqu'il s'agit de marijuana. De plus, un test au point de service n’est pas un test de confirmation. Un résultat POCT non négatif doit être confirmé par un test en laboratoire.

+ Dois-je demander des tests pour plus de médicaments que ceux inclus dans le test standard à 5 panels ?

Nous pouvons créer un panel personnalisé pour vos besoins de tests, si nécessaire. Certains employeurs choisissent d'effectuer des tests sur 12 panels, mais la nécessité de tester tous les médicaments de ce panel est discutable. Certains médicaments de ce panel, comme le propoxyphène, ne sont plus sur le marché et nous ne voulons pas que les clients paient un supplément pour des tests de dépistage de drogues inutiles.

+ Quels sont les seuils DOT pour l'alcool ?

Les employés réglementés par le ministère des Transports des États-Unis (en raison de voyages transfrontaliers) seront suspendus pendant 24 heures s'ils testent à un niveau compris entre 0.02 et 0.039 inclus. Bien que la suspension de l'exercice de tâches sensibles pour la sécurité soit obligatoire, cela n'est pas considéré comme une violation majeure des règles du DOT pour les résultats de tests dans cette plage. Cependant, si le résultat du test est de 0.04 ou plus, cela est considéré comme une violation des règles du programme de test du DOT, et le conducteur ne peut pas conduire aux États-Unis tant qu'il n'a pas suivi le processus obligatoire de retour au travail du DOT. Pour les employés non réglementés, il n’existe pas de seuil d’alcoolémie obligatoire pour les tests sur le lieu de travail, mais il existe des limites recommandées. La réglementation américaine est reconnue comme la référence en Amérique du Nord. En Alberta, le modèle canadien pour un lieu de travail sécuritaire suggère de limiter la concentration d'alcool dans l'haleine à moins de 0.04.

+ Qu'est-ce qui constitue un refus de test ?

En vertu de la réglementation américaine, un refus de test se produit lorsque l'employé a substitué, frelaté ou altéré un échantillon d'urine, refuse de participer à un test réglementé requis par le DOT ou entrave le processus de test.

+ Comment fonctionnent les tests aléatoires d'alcool et de drogues et comment puis-je décider quel devrait être le taux de sélection ?

Les employés sont sélectionnés au hasard dans un pool. Les dates et heures des tests ne sont pas annoncées et sont réparties tout au long de l’année. Pour les entreprises réglementées par le DOT FMCSA, le nombre de tests d'alcoolémie aléatoires effectués doit être égal à au moins 10 % du nombre moyen de postes de conducteur soumis à la réglementation. Pour les médicaments, c'est 25 %.

Les employeurs non réglementés ont la possibilité de suivre les lignes directrices établies par le projet pilote de réduction des risques liés à l'alcool et aux drogues, qui recommandent de sélectionner au hasard 50 % de votre main-d'œuvre sensible à la sécurité pour des tests d'alcool et de drogues sur une période d'un an. Le logiciel de sélection aléatoire de DriverCheck sélectionne les participants pour des tests aléatoires aux tarifs souhaités.

+ Est-il possible que les employés d'un groupe de tests aléatoires soient sélectionnés plus d'une fois au cours d'une année civile ?

Oui. Les tests aléatoires signifient que chaque personne de votre groupe de tests a la même chance d'être sélectionnée à chaque fois qu'un tirage au sort est effectué (généralement trimestriel, mais peut être effectué plus fréquemment). Il est possible, bien que rare, qu'un salarié soit choisi à chaque sélection. Cependant, afin d'éviter tout risque de biais potentiel, notre sélection aléatoire est générée par un programme informatique sophistiqué.

+ Les employeurs non réglementés devraient-ils effectuer des tests aléatoires de dépistage de drogues et d'alcool ?

Il existe une idée fausse répandue selon laquelle tous les tests aléatoires sont illégaux, à moins qu'un employeur ne soit tenu de le faire pour se conformer aux réglementations en matière de tests obligatoires, telles que celles du Département des transports des États-Unis (DOT). Sur la base d'un certain nombre de décisions juridiques émanant de divers contextes judiciaires (diverses commissions des droits de la personne, milieux d'arbitrage en matière de travail, décisions des tribunaux provinciaux et fédéraux, etc.), il est possible pour les employeurs non réglementés d'établir et de mettre en œuvre des programmes de tests aléatoires. , mais ces employeurs doivent être en mesure de démontrer exactement pourquoi il existe un besoin important de le faire, tout en respectant le droit des droits de l'homme, le droit de la vie privée, le droit du travail (y compris les questions relatives aux conventions collectives, le cas échéant) et une foule d'autres lois applicables. lois et facteurs.

Ce qui n'a pas été tout à fait clair par les tribunaux, les arbitres et les commissions, c'est une définition précise et cohérente des termes et conditions qui constituent un besoin valable et authentique pour un employeur d'introduire des tests aléatoires dans le cadre de ses activités professionnelles et environnementales globales. stratégie de santé et de sécurité. Par exemple, certaines décisions impliquent que les employeurs doivent démontrer qu'il existe un problème important de drogue et/ou d'alcool sur le lieu de travail, d'autres décisions impliquent la nécessité de démontrer que les conséquences catastrophiques liées à l'usage abusif de drogues et d'alcool doivent faire partie de l'équation, d'autres suggèrent que de tels les tests devraient se concentrer sur la détection des déficiences et pas seulement sur la détection des risques, tandis que d'autres suggèrent qu'un tel programme aléatoire peut être introduit avec un accord syndical dans le cadre de la négociation collective.

Les problèmes sont nombreux et complexes, mais ils pourraient être résolus au point où les tests aléatoires seraient effectivement justifiables et légaux. Avant qu'un employeur ou un groupe d'intérêt non réglementé ne détermine que des tests aléatoires devraient être introduits sur son lieu de travail, DriverCheck recommande fortement que ces employeurs ou groupes d'intérêt recherchent l'avis professionnel d'un conseiller juridique et d'experts en politiques familiers et expérimentés avec les diverses lois applicables qui pourraient avoir un impact sur ces questions. Si nécessaire et dans le cadre de votre examen aléatoire du programme, DriverCheck peut vous fournir les noms d'experts juridiques et politiques dans ce domaine qui pourront vous conseiller en conséquence.

+ Dans quelles circonstances existe-t-il une explication médicale valable pour un résultat de test de dépistage de drogues non négatif ?

En vertu de la réglementation du DOT, il pourrait y avoir une explication médicale valable à la présence de certains médicaments dans l’organisme d’un employé. Par exemple, une personne qui a récemment mangé des aliments contenant des graines de pavot ou qui a utilisé des médicaments contenant des opiacés (codéine ou morphine) pourrait être testée positive pour la ou les drogues. Chez DriverCheck, nos MRO analysent le résultat non négatif et interrogent le donneur pour prendre une décision. Lorsqu’une explication médicale valable existe, le résultat est signalé par le MRO comme négatif.

+ Les employeurs devraient-ils s'inquiéter de la possibilité de « battre » un test de dépistage de drogues dans l'urine ?

Pas avec DriverCheck. Notre laboratoire accrédité sous contrat effectue des tests de validité pour garantir qu'un échantillon n'a pas été frelaté, substitué ou falsifié. Nous avons également mis en place un certain nombre de freins et contrepoids sur nos sites de collecte pour empêcher les donateurs d’essayer de « passer » le test.

+ En tant qu'employé, puis-je être licencié si j'échoue à un test d'alcoolémie ou de drogue ?

Les commissions fédérales et provinciales des droits de la personne ont proclamé qu'une fois qu'un employé obtient un résultat positif, cela peut être interprété comme ayant un handicap réel ou perçu (comme une dépendance), et si tel est le cas, des efforts doivent être faits pour l'accommoder jusqu'au point de contrainte excessive. Au nom de nos clients, et afin de contribuer à satisfaire à l'obligation d'accommodement, nous pouvons orienter ces travailleurs vers un professionnel en toxicomanie (SAP) pour une évaluation, un diagnostic, une éducation et/ou un traitement. DriverCheck peut fournir tous les tests de retour au travail et de suivi nécessaires recommandés par le SAP.

+ Quelles options de test des médias corporels sont disponibles pour les programmes réglementés par le DOT et pour les programmes non réglementés ?

Les employeurs réglementés aux États-Unis ne peuvent utiliser l’urine que pour détecter la présence de drogues. Cependant, en plus de l’urine, les employeurs non réglementés peuvent également utiliser la salive et les cheveux pour tester la présence de drogues. Pour les tests d'alcoolémie, les employeurs réglementés aux États-Unis peuvent utiliser la salive comme test de dépistage uniquement, ainsi qu'un alcootest pour le dépistage et la confirmation. Les employeurs non réglementés peuvent effectuer des tests de salive, d'urine ou d'haleine.

+ Qu'est-ce qu'un test sur éprouvette fractionnée et qui peut le commander ?

Dans une collection d’échantillons d’urine fractionnés, l’échantillon maître est divisé en deux flacons. Le flacon A est appelé flacon d’échantillon primaire et le flacon B est appelé flacon d’échantillon divisé. Les deux sont scellés et sécurisés et envoyés avec la copie appropriée du formulaire de garde et de contrôle au laboratoire d'analyse. Le flacon A est analysé par le laboratoire pour détecter les drogues faisant l'objet d'un abus répertoriées. Le flacon B reste scellé et sécurisé au laboratoire, au cas où un donneur d'échantillon souhaiterait contester les résultats de laboratoire non négatifs du test. Le donneur d'échantillon peut contester ce résultat dans les 72 heures après avoir été informé par le MRO que le laboratoire a rapporté un résultat significatif non négatif. Le défi exige que le donneur d'échantillon demande que son échantillon fractionné (flacon B) soit envoyé à un autre laboratoire accrédité pour analyse de la ou des mêmes substances ou de la ou des propriétés anormales détectées dans le flacon A. Seul le donneur d'échantillon peut faire la demande d'analyse d'un échantillon fractionné et seul le MRO peut ordonner au laboratoire d'analyse de mettre en œuvre le processus d'échantillon fractionné.

+ Mon chauffeur a été testé positif. Peut-il encore conduire commercialement ?

Pour les employeurs réglementés aux États-Unis, tout conducteur dont le test est positif, refuse de passer le test ou enfreint toute autre disposition applicable telle que définie dans les règles n'est immédiatement plus qualifié pour conduire des véhicules commerciaux couverts par la réglementation américaine sur les tests d'alcool et de drogues du DOT. Il appartient à l’employeur non réglementé de décider du risque qu’il est prêt à prendre en permettant à une personne qui a été testée positive, qui a refusé de se soumettre à un test ou qui a enfreint la politique de l’entreprise d’une manière ou d’une autre de continuer à conduire.

+ Quel est le processus de retour au travail suite à un test positif ou à une autre violation des tests ?

Pour les employeurs réglementés aux États-Unis, les travailleurs qui enfreignent les règles en matière de dépistage de drogues et d'alcool (test positif, refus de subir un test, par exemple) doivent être évalués par un professionnel en toxicomanie (SAP) afin de déterminer s'il existe une dépendance ou un risque grave de dépendance ou de risque grave. un risque pour la sécurité existe. Le SAP recommandera ensuite un programme de traitement et/ou une éducation. Une fois le traitement et/ou la formation terminés, un examen de suivi est effectué et un rapport d'autorisation est renvoyé à l'employeur, l'informant que le travailleur a satisfait aux exigences du SAP. L'employeur effectuerait alors un test de retour au travail et tout test de suivi recommandé. Tous ces tests doivent donner des résultats négatifs pour que le conducteur puisse reprendre son travail et continuer à conduire. DriverCheck vous assiste dans la gestion de ce processus.

+ Des échantillons de laboratoire peuvent-ils être testés pour détecter la présence de drogues ?

Les employeurs réglementés aux États-Unis ne peuvent utiliser que des laboratoires accrédités par le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) pour tester la présence de médicaments. Pour les employeurs non réglementés, il est fortement recommandé de faire appel à un laboratoire accrédité par le HHS, car il s'agit de la référence en matière de précision, de performance et de contrôle qualité.

+ Quel est le rôle du Réviseur Médical (MRO) ?

Le MRO est responsable du maintien de l’intégrité du processus de test. Il ou elle vérifie et valide la documentation et les résultats des tests de laboratoire, offre aux donneurs d'échantillons la possibilité de fournir une explication médicale valide pour les résultats non négatifs et examine les informations médicales pertinentes. À la suite de l'examen du MRO, le MRO fournit l'interprétation finale des résultats du test, connue sous le nom de détermination du MRO, et rend compte de la détermination du MRO à l'employeur. Nos MRO sont également disponibles pour fournir aux clients des témoignages d’experts, au besoin.

+ Quelles qualifications un médecin doit-il posséder pour devenir un spécialiste certifié en matière d'examen médical (MRO) ?

Les réviseurs médicaux doivent être des médecins agréés ayant des connaissances en matière de consommation, de mésusage et d'abus de substances, et doivent également satisfaire à un certain nombre d'autres exigences de certification en vertu de la réglementation américaine. Les MRO de DriverCheck possèdent une licence médicale canadienne, sont accrédités conformément aux exigences du DOT des États-Unis et ont une compréhension approfondie du système de santé canadien. Les MRO non canadiens ne sont pas nécessairement conscients de certaines des nuances contenues dans le système de santé canadien. Par exemple, certains médicaments nécessitant une ordonnance aux États-Unis peuvent être achetés sans ordonnance au Canada.

+ Comment un test de dépistage de drogues peut-il donner un faux positif ?

Un faux positif scientifique est un test scientifique qui indique un résultat positif pour un médicament, mais un test scientifique de niveau supérieur indique que le vrai résultat est négatif. Exemple : Un test de dépistage POCT est positif pour l'amphétamine, mais le test de confirmation GC/MS donne un résultat négatif. Le résultat POCT dans ce scénario est un résultat faussement positif.

+ Qui dois-je appeler si j'ai des questions ou des problèmes ?

Si vous avez des questions ou des préoccupations concernant votre programme ou nos services, veuillez contacter votre conseiller commercial, appeler notre service client au 1- (800) -463-4310 ou écrivez-nous à DriverCheck@DriverCheck.ca.

Santé au travail:

+ Comment savoir si mon entreprise a besoin d'un programme de santé et sécurité au travail ?

Selon la loi, et le cas échéant, chaque employeur est tenu de mener une enquête sur la santé et la sécurité sur son lieu de travail. Si un risque d'exposition à des substances toxiques ou d'autres dangers est détecté, les réglementations en matière de santé et de sécurité au travail exigent qu'un comité de santé et de sécurité soit créé pour effectuer un audit détaillé et déterminer si des programmes de surveillance médicale sont nécessaires.

+ À quelle législation en matière de santé et de sécurité au travail mon entreprise doit-elle se conformer ?

Cela dépend si votre entreprise est régie par le fédéral ou par la province. Par exemple, si vous êtes réglementé au niveau provincial, vous devez vous conformer aux réglementations en matière de santé et de sécurité au travail de votre province. Si des substances toxiques sont présentes, vous devez également vous conformer au règlement du Système d’information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT) de Santé Canada.

+ Mon entreprise a-t-elle besoin d'une politique de santé et de sécurité au travail ?

Oui. Toutes les entreprises devraient avoir une politique qui reflète l’engagement de l’entreprise envers la santé et le bien-être des employés sur le lieu de travail.

+ Comment savoir si mon entreprise doit avoir un programme de surveillance médicale obligatoire ?

Si une substance dangereuse (silice ou amiante, par exemple) présente un risque pour les employés de votre lieu de travail, vous devez mettre en place un programme de surveillance médicale pour satisfaire aux règles de santé et sécurité du travail, le cas échéant, et pour promouvoir la santé et la sécurité. Nous proposons des programmes de surveillance médicale pour répondre à vos besoins et aider votre entreprise à réduire les maladies inutiles liées aux substances dangereuses et les coûts associés.

+ Quels sont les avantages des examens médicaux post-offre d'emploi ?

Les examens médicaux sur le lieu de travail effectués comme condition d’embauche établissent l’état de santé de base de vos candidats. Une surveillance médicale continue peut déterminer si leur état de santé se détériore et si cette détérioration est liée à des problèmes liés au travail. De cette façon, l’intervention peut commencer suffisamment tôt pour éviter que les problèmes de santé ne s’aggravent et garantir que les employés sont physiquement aptes à accomplir les tâches essentielles de leur travail. L’identification des problèmes de santé sous-jacents évite les blessures/maladies inutiles et réduit le risque de coûts d’indemnisation des accidents du travail inutiles et évitables.

+ Comment puis-je savoir si mon entreprise a besoin d'un programme de conservation de l'audition ?

Si le bruit constitue un risque potentiel sur votre lieu de travail, une enquête doit être menée pour déterminer quelles zones sont considérées comme présentant des niveaux de bruit dangereusement élevés. Si les seuils (tels que définis dans la réglementation sur la perte auditive) sont dépassés, un programme complet de conservation de l'audition doit être mis en place.

+ Qu'est-ce qu'un audiogramme et quels sont les avantages d'un programme de conservation de l'audition ?

Un audiogramme est un test auditif qui détermine le niveau de perte auditive qu'un employé peut avoir au moment du test. La détection précoce est importante car elle permet à votre entreprise de proposer une intervention précoce, y compris une éducation à la santé auditive et de garantir le port d'une protection auditive appropriée (si les niveaux de bruit sur le lieu de travail ou ailleurs sont importants) pour éviter une détérioration supplémentaire. Les audiogrammes de base offrent également l’avantage d’identifier l’état auditif d’un employé au moment de l’embauche ou du placement préalable afin d’établir s’il existe ou non une perte auditive sous-jacente qui ne serait pas imputable au nouvel employeur. En effectuant des audiogrammes périodiques, les problèmes peuvent être identifiés et traités avant qu'une perte auditive importante n'entre en jeu.

+ Quels services médicaux puis-je mettre en place pour contribuer à réduire les coûts d'indemnisation des accidents du travail de mon entreprise ?

Les tests d'aptitude physique, les programmes de conservation de l'audition, les examens médicaux préalables à l'embauche et après l'offre d'emploi, ainsi que les tests périodiques (même lorsqu'ils ne sont pas régis par la réglementation, mais lorsqu'un risque potentiel existe ou lorsque la main-d'œuvre vieillit) peuvent contribuer à réduire les blessures. , les maladies et les coûts d'indemnisation des accidents du travail.

+ Qu'est-ce qu'un programme de gestion des sinistres/invalidité ?

Ce programme entre en jeu dans les cas d’indemnisation des accidents du travail où l’employeur est tenu responsable, ainsi que dans les cas d’invalidité générale et d’absentéisme connexe. Le gestionnaire des réclamations travaille avec l'employé, l'employeur et le professionnel de la santé pour aider l'employé à reprendre un travail sûr et productif, en particulier s'il souffre de blessures chroniques. Lorsque cela est nécessaire et approprié, un examen médical indépendant (EMI) peut être organisé. Pour les cas chroniques et complexes, un programme de gestion des réclamations et de l’invalidité offre un nouveau regard et une nouvelle approche pour les options de traitement et le soutien qui n’étaient peut-être pas offerts auparavant, en mettant l’accent sur le retour au travail et à une vie normale basée sur les capacités actuelles.

+ Qu'est-ce qu'un programme de service modifié ?

DriverCheck encourage les entreprises à développer des programmes de travail modifiés afin que les travailleurs blessés ou malades puissent être réintégrés sur le lieu de travail dès que raisonnablement possible. Grâce à nos services, un spécialiste en gestion des sinistres travaillera avec vous, votre employé et son médecin pour accompagner la réadaptation et le retour au travail de l'employé, même si cela signifie accepter temporairement un poste différent de celui qu'il occupait auparavant. .

+ Qu'est-ce qu'un programme de test d'ajustement de respirateur et comment puis-je savoir si mon entreprise en a besoin ?

Lorsque les niveaux de substances toxiques en suspension dans l'air présentent un risque sur votre lieu de travail (dépassant les seuils définis dans les réglementations ou lignes directrices applicables) et si cette exposition excessive ne peut être raisonnablement inversée par des contrôles techniques ou autres, votre entreprise doit fournir à ses employés un équipement de protection individuelle (EPI). ), et cet équipement doit être correctement ajusté. DriverCheck utilise des techniques efficaces de test d’ajustement des respirateurs pour garantir que vos employés utilisent des respirateurs correctement ajustés.